Je fis, aussi, des films tournés à l'envers : Le Plongeur fantastique, sur le canal de l'Ourq, qui montrait un nageur surgissant de l'eau et montant sur le tremplin.
Jean Emmanuel, "Premiers âges du cinéma : Ferdinand Zecca", Pour vous, nº 15, 18 octobre 1931, p. 6.
Je fis aussi des films "renversés". Le procédé était bien simple : une fois la pellicule impressionnée, il suffisait de la développer en sens inverse de la norme. Ainsi Le Plongeur fantastique montrait-il un nageur surgissant de l'eau et s'élançant, la tête en bas, sur le tremplin.
Francis Ambrière, "Les Souvenirs de Ferdinand Zecca", L'Image, nº 13, 1932, p. 28.