M. Grenier a fait passer aussi sous nos yeux quelques vues qu’il a prises au sinistre du Puits-Drouet. Très émotionnantes et très vraies, les vues ! Les ruines, les groupes de travailleurs, pompiers et soldats, le cortège funèbre que M. Grenier nous soumet tirent les larmes des yeux. Les personnages sont reconnaissables et il y a un brave et bienveillant magistrat qui, en train de goûter au vin servi au soldat, a été bien pigé, et que tout le monde reconnaît.Le Journal de Chartres, Chartres, vendredi 27 mai 1898, p. 2.