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- Creado: 24 Marzo 2015
- Última actualización: 04 Junio 2023
- Publicado: 24 Marzo 2015
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Léopold, René DECAUX
(Paris, 1869-Châteauroux, 1948)
Jean-Claude SEGUIN
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Louis Auguste Decaux (-Paris 1er ancien, 15/10/1856) épouse (Paris 1er ancien, 30/10/1827) Reine Eulalie Palluel (-Paris 1er ancien, 03/05/1831). Descendance :
- Michel, Alfred Decaux (1831-Houilles, 18/01/1902) épouse (Paris 2e, 13/08/1859) Cécile, Louise, Georgette Lemelle ([1836]-). Descendance :
- Claude Paul Georges Decaux (Paris 1er, 15/04/1861-Houilles, 31/12/1939) épouse (Houilles, 09/08/1887) Alexandrine, Elisa Royer (Houilles, 17/12/1868-Sartrouville 28/03/1945). Descendance :
- Roger, Georges, Alexandre Decaux (Houilles, 03/04/1899-Grasse, 06/06/11955)
- épouse Rose, Louise, Victorine Lacroix.
- épouse (Casablanca, 15/09/1948) Jeanne Prizzi.
- Roger, Georges, Alexandre Decaux (Houilles, 03/04/1899-Grasse, 06/06/11955)
- Clémentine, Léonie Decaux (Paris 1er, 15/08/1862-Paris, 26/08/1862).
- Alfred, Louis Decaux (Paris 2e, 20/07/1866-Colombes, 06/08/1866).
- Léopold, René Decaux (Paris 2e, 11/03/1869-Châteauroux, 24/10/1948) épouse (Paris 6e, 13/11/1902) Marie, Jeanne, Caroline Rigoulot (Avilley, 06/12/1857-).
- Léon, André Decaux (Paris, 2e, 04/01/1872-Paris 18e, 30/01/1925).
- Claude Paul Georges Decaux (Paris 1er, 15/04/1861-Houilles, 31/12/1939) épouse (Houilles, 09/08/1887) Alexandrine, Elisa Royer (Houilles, 17/12/1868-Sartrouville 28/03/1945). Descendance :
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Les origines (1869-1896)
Fils de marchands de crépins, Léopold, René Decaux est élève de l'École des Arts et Métiers d'Angers. Il figure comme électricien sur son matricule militaire. Il est ajourné, en 1890 et 1891 pour faiblesse et il est attaché au service auxiliaire avant de passer dans la réserve de l'armée active (1er novembre 1893). En 1891, il réside à Paris avec ses parents avant de s'installer à Houilles (3 rue Saint-Nicolas) à partir de 1892. À l'époque, il est attaché au bureau d'études de la maison Carpentier (ateliers Rumhkorff), de 1889 à 1893 et dépose un brevet pour un "obturateur photographique à vitesse variable et à pose facultative" (nº 224185. 7 septembre 1892). L'inventeur de l'obturateur, commercialisé par F. M. Richard (57, rue Saint-Roch, Paris), reçoit le premier prix de la Société d'encouragement pour l'industrie national :
SOCIÉTÉ D'ENCOURAGEMENT POUR L'INDUSTRIE
Le prix de 1,000 francs pour un obturateur photographique a été donné à M. René Decaux, à Houilles (Seine-et-Oise).
Le XIXe siècle, Paris, 11 juin 1893, p. 2.
Photo-gazette, 2e année, nº 12, 25 octobre 1892, p. VII
En 1893, il est pris comme ingénieur à la maison Georges Richard où il reste jusqu'en 1895. Le 22 juin 1895, René Decaux forme une société avec Léonide-Augustine Gravet (veuve de Charles Tavernier) :
Article premier
Il a été formé entre les susnommés une Société commerciale en nom collectif, ayant pour objet la fabrication et la vente des règles à calcul et des instruments de mathématique et généralement de tous objets de précision.
La Loi, Paris, 21 juillet 1895, p. 4.
Le siège de la société "Veuve Tavernier-Gravet et Decaux" se trouve à Paris, nº 10 rue Mayet. La veuve Tavernier apporte son fonds de commerce tandis que Léopold René Decaux contribue avec son expérience et ses relations :
M. Decaux apporte à la Société son expérience commerciale, ses relations et ses connaissances spéciales. Cet apport est évalué à la somme de mille francs.
La Loi, Paris, 21 juillet 1895, p. 4.
L'association ne va guère durer. En 1896, il toujours à Houille avec ses parents et ses frères Georges (employé) et Léon (Dessinateur), rue Saint-Nicolas, il figure comme ingénieur.
La collaboration avec Gaumont (1896->1924)
Léopold, René Decaux, avant même de constituer la société " Veuve Tavernier-Gravet et Decaux", travaille pour la maison L. Gaumont et Cie, Il a un rôle déterminant dans la construction du chronophotographe comme l'indique le volume Établissements Gaumont, publié en 1935 :
Enfin, en 1896, M. Gaumont construit, en collaboration avec M. Decaux, le "Chronophotographe", utilisant le principe de la came d'entrainement breveté par M. Demeny. Cet appareil est, immédiatement après le cinématographe Lumière, un des prédécesseurs des appareils cinématographiques actuels.
ÉTABLISSEMENTS GAUMONT, 1935: 1.
À partir du biographe de Georges Demenÿ, Leopold René Decaux va introduire un certain nombre de transformations afin d'obtenir la réversibilité de l'appareil qui va utiliser du film perforé. C'est le lundi 27 avril 1896 qu'a lieu la présentation de l'appareil 60 mm (58 mm) en présence de Léon Gaumont et de Georges Demenÿ.
Chronophotographe et enrouleuse. 1896.
collection: Centre National du cinéma et de l'image animée
© photo. Stéphane Dobrowski
Cette collaboration est déterminante et conduit naturellement Léopold, René Decaux à abandonner son implication dans la société qu'il a fondée et à rejoindre la maison Gaumont comme on peut le lire dans la correspondance conservée:
Le premier, et certainement le principal par son activité et son intelligence, Mr Decaux, vient de quitter la maison Tavernier à laquelle il était attaché. Nos rapports avec cette maison vont se trouver totalement modifiés par ce départ.
CORCY, 172.
C'est à la même époque que son frère Léon Decaux est chargé par Léon Gaumont de bâtir des ateliers dans la ruelle des Sonneries (rue de La Villette, 55):
Demande en autorisation de bâtir
du 28 décembre 1896.
[...]
19e arr. -Ruelle des Sonneries (rue de la Villette, 55).-Prop., MM. L. Gaumont et Cie, rue Saint-Roch, 57.-Arch., M. Léon Decaux, rue Saint-Nicolas, 3, à Houilles (Seine-et-Oise).-Ateliers
Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, Paris, mardi 29 décembre 1896, p. 3342.
Quant à Léopold, René Decaux, en peu de temps, il est nommé responsable précisément de ces ateliers, rue des Alouettes:
[à Mossé, Paris]
[x] juillet 1898.
Monsieur Mossé,
33 avenue d'Orléans. E.V.
Nous vous confirmons par la présente les conditions auxquelles nous vous proposons d'entre au Service de nos Ateliers de la rue des Alouettes comme chargé du bureau des études sous la direction de Mr Decaux.
.CORCY, 344.
Il va devenir ainsi une pièce maîtresse et Léon Gaumont va lui confier la création et la direction générale des Usines Gaumont. Mais il a également un rôle essentiel dans tous les aspects techniques et technologiques de l'entreprise. Il participe à l'invention du Mutoscope Gaumont, une variante du folioscope :
En 1898 avec L. Decaux, autre habile constructeur, le Mutascope [sic], et toute une série d'appareils de prises de vues et de projecteur.
La Cinématographie Française, nº 1170, 24 août 1946, p. 1.
S'il habite toujours à Houille (Rue Saint-Nicolas), en 1901 avec ses parents et ses frères Georges (employé) et Léon (Architecte) où il figure comme employé, il s'installe, un an plus tard à Paris, 10 rue du Soleil (3 juin 1902), puis 55, rue de la Villette au moment de son mariage en novembre. Preuve du lien que le lie à son patron, Léon Gaumont est témoin de la cérémonie.
"A mon frère Georges. Paris. Le 23 février 1902. R. Decaux."
© Collection privée.
L'une de ses principales contributions est celle qu'il apporte dans la résolution de la question du synchronisme de l'image et du son et qui est à l'origine du chronophone. Le 7 novembre 1902, Léon Gaumont présente à la Société Française de Photographie une première tentative de synchronisme entre le phonographe et le cinématographe :
Séance du 7 novembre 1902
[...]
M. L. GAUMONT fait une Communication sur l’obtention du synchronisme entre le phonographe et le cinématographe et indique le principe sur lequel repose le dispositif qu’il a réalisé avec M. Decaux. (Voir p. 500.) Il fait projeter sur l’écran trois scènes : la première représente M. Gaumont lui-même présentant à la Société française de Photographie l’appareil Blocknote 41/2 X 6. Le phonographe fait entendre toutes les explications et les paroles accompagnent rigoureusement les gestes et le mouvement des lèvres reproduits par le cinématographe ; l’effet est très saisissant. Dans les deux autres vues des danseurs exécutent, en restant parfaitement en mesure avec la musique reproduite par le phonographe, une danse de gitanes et une gavotte (des Mathurins). Ces scènes ont été accueillies par les très vifs applaudissements de l’assemblée, et M. le Président félicite MM. Gaumont et Decaux de l’ingénieuse solution qu'ils ont donnée au problème du synchronisme du phonographe et du cinématographe, qui a déjà suscité bien des recherches; il les remercie d’en avoir réservé la primeur à la Société.
Bulletin de la Société française de photographie, 2e série. Tome XVIII, nº 22, 1902, p. 497.
Au Perreux, Gaumont fait construire une usine dont Léopold, René Decaux devient le responsable. Il s'installe alors dans la commune dès le 17 juin 1904 au nº2 de l'avenue de l'Orangerie. Il est déjà en contact, alors, avec Alice Guy dont les ambitions sont à l'origine des dissentions qu'elle évoque dans ses mémoires. Cette dernière va dresser un portrait au vitriol de celui qui est, malgré tout, l'un des principaux responsables de la maison Gaumont. En voici, un exemple parmi d'autres :
Cette époque fut dure pour moi. On m'avait laissé me débrouiller seule dans les difficultés du début, défricher, mais l'affaire devenait intéressante, sans doute lucrative, on m'en disputa âprement la direction. Cependant, j'étais combative et grâce au président Eiffel qui m'encouragea toujours avec bonté, tout le Conseil d'administration, reconnaissant mes efforts, décida de me laisser à la tête du service. Apparemment, il n'eut pas à s'en plaindre, puisque malgré la guerre sourde que me fit le directeur des ateliers de fabrication, malgré la hargne qui le poussa à commettre mille petitesses - non seulement contre moi mais également contre les employés qui travaillaient sous mes ordres - je réussis à garder mon poste jusqu'en 1907, c'est-à-dire pendant onze ans.
Guy, 1976, 68-69.
Il faut relativiser ces propos peu amènes et regretter l'absence de témoignage de Léopold, René Decaux qui aurait donné, n'en doutons-nous, une version bien différente, et auquel Léon Gaumont gardera toujours sa confiance. Il est nommé officier de l'Instruction publique le 3 janvier 1914. Tout au long de ces années, il va constituer ses recherches comme en témoigne le courrier suivant qu'il transmet à la compagnie Kodak :
Nous avons reçu le film panchromatique que vous nous avez expédié en août dernier, et nous avons procédé, dès son arrivée à l’usine, en Octobre [sic], à quelques essais de prise de vue en profitant d’une période de très beau temps. [...]
La prise de vue en plein air de différents sujets, avec les écrans Wratten indiqués, nous a permis de constater que le rendement des couleurs était très satisfaisant et que les images obtenues étaient beaucoup moins heurtées que celles fournie par les essais effectués avec les envois de 1914.
Lettre de Léopold, René Decaux à la société Kodak, 4 novembre 1920. Cinémathèque française. Fonds Louis Gaumont. LG255-B30
Il dépose également, avec Léon Gaumont, un brevet au titre de la société dont on connaît la version américaine (US1454850A). Son rôle est d'ailleurs essentiel comme le rappelle le Ciné-journal alors qu'il vient d'être promu, le 3 février 1922, chevalier de la Légion d'Honneur :
Il est un des premiers et des plus actifs collaborateurs de M. Gaumont qui lui confia la création et la direction générale des Usines Gaumont.
Tout en assumant et menant à bien cette tâche considérable M. Decaux s'occupait également de l'organisation technique des filiales Gaumont à l'étranger.
Il est l'auteur de multiples inventions concernant la photographie et la cinématographie et en particulier du système obturateur universellement connu.
Ciné-journal, Paris, 11 février 1922, p. 23.
C'est à l'occasion de la nomination de Léon Gaumont au grade d'officier de la Légion d'Honneur (30 novembre 1923) que Léopold, René Decaux va prononcer un discours, au nom du personnel de la société, dans la salle du Gaumont-Palace :
La rosette de M. Léon Gaumont
A la grande stupéfaction des spectateurs occupant les fauteuils d'orchestre, hier au Gaumont-Palace, quand se termina, sur des bravos, la présentation de L'Orphelin de Paris dont Louis Feuillade est le père, le public des galeries restait assis. On ne devait projeter que trois chapitres du film. Et nous les avions eus. Que se passait-il alors qu'on ne passait plus rien ?
En scène, devant la rampe à plein feu, deux accessoiristes venaient d'installer sur une colonne de marbre un objet d'art. Quelqu'un m'expliqua :
— C'est le cadeau, c'est le souvenir que le personnel des établissements Gaumont offre au fondateur de la célèbre firme française, à l'occasion de sa récente nomination d'officier de la Légion d'honneur.
— Quel est le sujet, exprimé, coulé en bronze ?
— La Nature se découvrant devant la science naissante.
C'est alors que le haut parleur imposa silence à ma curiosité. M. Decaux, directeur des Usines Gaumont, un des doyens très aimés de la grande maison, prononça le spech suivant :
"Mon cher ami,
La qualité de doyen constitue un privilège que l'on ne revendique guère, en général. Je suis certain, pourtant, qu'aujourd'hui, beaucoup de ceux qui m'entourent seraient heureux d'en bénéficier puisque c'est à elle que je dois le grand plaisir de pouvoir vous remettre, ce soir, au nom de tout le personnel, cet objet d'art qu'il est heureux de vous offrir à l'occasion de votre promotion au grade d'officier de la Légion d'honneur.
Je ne peux, pour ma part, me défendre d'une certaine émotion lorsque, revoyant le passé, j'évoque le chemin parcouru depuis notre première collaboration, il y a plus de trente ans et lorsque je me reporte aux débuts dans ce petit atelier des Buttes-Chaumont dont la superficie totale couvrait en tout et pour tout, deux cents mètres carrés et qui a constitué pourtant l'armature de cette grande cité Elgé qui occupe maintenant plus d'un millier de personnes.
Cette cité, elle est due, mon cher ami, à cette impulsion si vigoureuse, à cette foi d'animateur qui ne se sont jamais démenties et que sert une activité qui fait notre admiration à tous.
Le résultat a couronné vos efforts et vous pouvez en être justement fier. Les Etablissements Gaumont occupent une place prépondérante dans le domaine de la cinématographie et leur champ d'action s'étend maintenant de plus en plus à la solution et à la mise au point de problèmes industriels nouveaux.
La haute distinction qui vient de vous être conférée était attendue depuis longtemps par nous tous. Elle n'est que la juste consécration de vos mérites et la récompense normale des services que vous avez rendus à l'industrie française.
En vous honorant, elle honore également tous vos collaborateurs qui (à l'exception de ceux que l'éloignement prive du plaisir d'être des nôtres mais qui sont avec nous par la pensée) ont tenu à se grouper ce soir pour vous offrir un souvenir durable de la profonde satisfaction ^qu'ils ont éprouvée. Nous espérons, que ce souvenir vous sera agréable ; il est destiné, en tous cas, à vous apporter le témoignage du respectueux attachement d'un personnel sur le dévouement duquel vous pouvez compter en toutes circonstances.
Permettez-moi, mon cher ami, de vous renouveler très simplement mais très sincèrement, au nom de tous, présents et absents, l'expression de nos vives félicitations et de vous prier de les partager avec Mme Gaumont et toute votre famille que nous nous réjouissons d'avoir au milieu de nous en cette heureuse circonstance."
[...]
J.-L. Croze.
Comoedia, Paris, 27 janvier 1924, p. 2.
Régulateur de vitesse pour cinéprojecteurs et appareils phoniques à déroulement continu du film. L.R. DECAUX et Etabts GAUMONT, BF 608.153e du 26 mars 1925.
Dans les cinéprojecteurs à déroulement continu, le mouvement du film est habituellement régularisé par un volant 6 conduit par un cylindre 4, non denté mais légèrement strié, contre lequel le film est appliqué par un compresseur à galets caoutchoutés 12, appuyés par un ressort, par exemple; une tension est exercée sur le film par un galet 7 monté sur un levier constamment sollicité par un ressort; lors de la mise en marche, on doit lancer le volant à la main pour éviter la rupture du film soumis à un effort excessif par l'inertie du volant; le dispositif décrit rend le volant 6 et le cylindre 4 solidaires du mécanisme d'entraînement pendant la période de mise en route de l'appareil et assure le débrayage dès que celui-ci atteint sa vitesse de régime. Sur l'axe 16 est monté un régulateur centrifuge 17 réglé de telle sorte que le coulisseau s'élève quand la vitesse de régime est atteinte, ce mouvement étant transmis par un levier coudé (non figuré) à un manchon d'embrayage placé sur l'axe du volant 6.
Science et industrie photographiques, 1er avril 1927, p. 80.
En 1931, il est toujours recensé au Perreux-sur-Marne (2, avenue de l'orangerie). Il décède à Châteauroux en 1948.
Son frère Léon Decaux, après son service militaire va s'installer en Guinée. Il se fixe à Konakry (5 octobre 1904), puis à Babya (Rio Pongo), dès le 20 février 1906. En 1909, il habite à Bacoro et fonde (28 avril 1909) une société en nom collectif avec Ludore Grauby qui a pour but de faire le commerce et d'exploiter une distillerie. La raison sociale est "Grauby et Decaux" et le siège social est fixé à Tairé-Tamboni (Rio-Pongo). Il décède à Paris en 1925.
Sources
CORCY Marie-Sophie, Jacques MALTHÊTE, Laurent MANNONI et Jean-Jacques MEUSY, Les Premières Années de la société L. Gaumont et Cie, Paris, Association française de recherche sur l'histoire du cinéma/Bibliothèque du Film, Gaumont, 1998, 496 p.
Établissement Gaumont (1895-1929), Paris, Imprimerie Gauthier-Villars, 1935, 124 p.
VIÉ Guy, "L'obturateur photographique DECAUX", Club Nicephore Lumière, nº143, février 2008, p.11-14.
Remerciements
Les descendants de Léopold, René Decaux.