Die Wellen des Meeres werden uns im fünften Bilde, „Auslauf der 'Normandie' aus Havre", vorgeführt, während der ungeheure Schiffs Koloss an unserem Auge vorbeizieht.

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Grazer Tagblatt, Graz, mardi 27 octobre 1896, p. 2.

C'est maintenant Le départ d'un steamer : il sort majestueusement du port, remorqué par un caboteur ; l'eau bouillonne, domptée par l'hélice ; les passagers rassemblés en masse sur le pont agitent leur mouchoir ; c'est "la Normandie" qui vogue vers New York ou ailleurs, adieu ! Et ainsi défilent devant les yeux nombre de tableaux de la vie réelle, fixés à jamais dans leur mobilité par la lumière et le fluide électrique. Où irons-nous ? Bah ! Laissons-nous conduire. Le cinématographe a eu hier, dans la salle des fêtes, les honneurs de la soirée. Les séances doivent continuer ce soir et demain. C'est un spectacle très intéressant que tous les fervents du progrès se verront obligés de connaître.

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L'Union républicaine de la Marne, Châlons-sur-Marne, 30 octobre 1896.

A new tableau which is attracting admiration just now shows one of the immense Atlantic liners between Havre and New York breasting the waves at full speed near.

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The Sydney Morning Herald, 14 nov. 1896, p. 6.

Contraste ! C'est maintenant le départ d'un steamer. Il sort majestueusement du port, précédé d'un caboteur ; l'eau bouillante domptée par l'hélice ; les passagers, rassemblés en masse sur le pont, agitent leurs mouchoirs, le timonnier est à la barre, c'est la Normandie qui vogue vers New- York où ailleurs, adieu !

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Journal de Fourmies, Fourmies, 6 décembre 1896, p. 2.